"NICE, CINÉMAPOLIS" - MUSÉE MASSÉNA
"LE
DIABLE AU CORPS*. QUAND L’OP ART ÉLECTRISE LE CINÉMA" - MAMAC
"CINÉMATISSE" - MUSÉE
MATISSE
"ALAIN
FLEISCHER, L’IMAGE QUI REVIENT" - MUSÉE DE LA PHOTOGRAPHIE
CHARLES NÉGRE
"BEN
: LA VIE EST UN FILM" – 109
"CLEMENT
COGITORE
"
- MUSEE NATIONAL MARC CHAGALL
"LA
VICTORINE DANS L’ŒIL DES MIRKINE - PHOTOGRAPHES DE PLATEAU
"
- AÉROPORT DE NICE, PROMENADE DU PAILLON ET STUDIOS DE LA VICTORINE
Nice, Cinémapolis – Visuel : Louis Feuillade, Tih Minh, 1918, affiche d’Emilio Vilà
Paris, Coll. La Cinémathèque française
Tih Minh, un film de Louis Feuillade, production 1918 © Gaumont
Affiche d’Emilio Vilà © DR, coll. Cinémathèque française
Commissariat de Jean-Jacques Aillagon, assisté d’Aymeric Jeudy
Scénographie & Conception graphique : Kristof Everart & Marcel Bataillard
Production : Jean-Pierre Barbero
En partenariat avec La Cinémathèque française.
*« Nice est devenue cinémapolis. Il y a ici aux environs de treize troupes qui tournent, paraît-il » Louis Feuillade, réalisateur, à Marcel Levesque, acteur, février 1917.
L’exposition se propose, à travers une fresque historique richement documentée, d’évoquer la relation intime qui lie Nice au cinéma, de son invention par les frères Lumière à aujourd’hui. Cette chronologie, qui s’étend de 1896 à 2019, illustrée à partir de nombreuses collections et plus particulièrement de celle de La Cinémathèque française, permet de témoigner de l’intense activité cinématographique de Nice et du rôle fondamental que la ville a joué dans le développement du 7e art, tout au long du XXe siècle.
L’itinéraire de l’exposition évoque les prémices du cinéma, son apparition dans les premiers lieux de divertissement, l’installation des premiers studios parmi lesquels celui de la Victorine, dont le centième anniversaire est célébré en 2019, le destin des salles de cinéma mais aussi les nombreuses personnalités liées à cet art, inventeurs, créateurs, réalisateurs, producteurs, acteurs et qui ont travaillé à Nice.
L’exposition fait dialoguer des œuvres diverses : extraits de films, affiches, photographies de tournage, manuscrits etc., conduisant ainsi le visiteur à découvrir, grâce à une approche transversale de l’histoire niçoise du cinéma, l’histoire d’une ville qu’on surnomma l’« Hollywood européen ».